Cantine sans frontières – Samedi 25 mai : Repas Géorgien + Chants traditionnels + Spectacle

Au menu de la cantine ce mois-ci :

REPAS GÉORGIEN

. Badrijan Salat (aubergines grillées aux noix)
. Kubdari (tourtes farcies)
. Gâteau Napoléon

Ce moment de solidarité et d’entraide sera suivi de CHANTS TRADITIONNELS GÉORGIENS et d’extraits du spectacle « Noir comme une présence » par la Cie Emeranox.

Nous rappelons que l’argent récolté lors des Cantines sans frontières est destiné à être reversé à des personnes ne bénéficiant, pour la très grande majorité et du fait de leur situation administrative irrégulière, ni de la possibilité de travailler légalement, ni de celle de percevoir une quelconque aide sociale. Cela signifie dans le monde capitalisé que nous connaissons toutes et tous rencontrer de très grandes difficultés pour se loger, se nourrir où acheter n’importe quel bien de consommation de la vie courante. Les Cantines sans frontières sont un moyen de s’en sortir collectivement et sont organisées avec les personnes concernées. Elles sont aussi un moment de rencontre, d’échange et de convivialité.

Les Cantines sans frontières sont organisées tous les derniers samedis du mois, le repas est à prix libre.

Rendez-vous le Samedi 25 Mai à 12h30 à la Rétive (42 rue du Faubourg d’Auvergne) à Alès !!

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[Arles] Appel à rassemblement Jeudi 16 mai en soutien aux travailleuses et travailleurs agricoles

Appel à rassemblement en soutien aux travailleuses et travailleurs agricoles marocain.es et espagnol.es en procès contre Laboral Terra et 8 entreprises agricoles françaises, Jeudi 16 Mai 2019, à 13h30, au conseil des prud’hommes d’Arles.

En 2017, cinq travailleuses et travailleurs agricoles marocain.es et espagnol.es ont porté plainte contre Laboral Terra, entreprise de travail temporaire (ETT) spécialisée dans le travail agricole et contre huit donneurs d’ordre français qui les ont embauché.es via cette ETT. Ces derniers, implantés, dans le Vaucluse, les Bouches du Rhône et le Gard, embauchent régulièrement des travailleuses et travailleurs étrangers détaché.es dans la production, l’emballage et la distribution de produits agricoles. Basé sur le droit européen, le détachement permet la mobilité des travailleurs au sein de l’UE et constitue, depuis une quinzaine d’années, le cadre d’emploi des travailleurs étrangers en Europe. Dans l’agriculture, il remplace les contrats OMI en instaurant des contrats de travail toujours plus flexibles et précaires : pouvant être rompus du jour au lendemain, ils permettent aux employeurs de payer moins de cotisations sociales et de passer des « commandes » collectives d’ouvriers sans avoir à faire de contrats individuels.

Après deux ans de procédure, Jeudi 16 mai prochain, se tiendra la dernière audience du procès de ces travailleuses et travailleurs. Employé.es depuis 2012 par cette agence d’intérim, basée à Castellon (Espagne) dans le cadre du travail détaché, elles et ils les attaquent au conseil des prud’hommes d’Arles pour travail dissimulé, non paiement des heures supplémentaires et des jours fériés, non respect des contrats de travail, non déclaration des accidents de travail et des congés maternité, manquement aux règles de sécurité au travail (non fourniture des équipements nécessaires).

Les faits ne sont malheureusement pas exceptionnels. Des centaines de femmes et d’hommes sont concernées par des situations similaires. Il s’agit seulement d’une des facettes d’un large système d’exploitation de travailleuses et travailleurs de la terre, dénoncé régulièrement par des associations, des syndicats et des médias à travers l’Europe.

La plainte, elle, est une des rares à aboutir dans la région. Soyons nombreuses et nombreux à venir en solidarité. Combattons l’exploitation de la main d’œuvre dans l’agriculture, en France, en Europe aujourd’hui et demain ! Pour une égalité de droits entre tous les travailleurs et travailleuses !

Collectif de soutien aux travailleuses et travailleurs détaché.es

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[Nîmes] Paroles de migrants – récits, témoignages, poèmes – Samedi 18 mai à 19h

On relaie l’initiative organisée par le Collectif Réfugié Bienvenue de Nîmes.

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Note Migreurop n°9 – Mai 2019 : “L’OIM, une organisation au service des frontières… fermées.”

Le 4 avril 2019, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) faisait connaître sa préoccupation au sujet des migrant·e·s détenu·e·s en Libye. Ce communiqué faisait office de « clarification », rendue nécessaire par la prise de position d’António Guterres, secrétaire général de l’ONU. En visite en Libye, celui-ci s’était en effet déclaré « choqué » du sort des personnes migrantes et avait lancé « un appel à la communauté internationale pour le respect du droit international des réfugiés et la nécessité de traiter le problème de la migration d’une manière compatible […] avec les droits de l’Homme ».

Dans sa mise au point, l’OIM prend pourtant soin de n’incriminer aucun État, pas même cette « communauté internationale » qui avait clairement été pointée par António Guterres. Pour l’OIM, la détention des personnes que ses agents accueillent dans des « points de désembarquement » est certes « arbitraire », mais elle se borne à plaider pour des « solutions alternatives » à l’internement pratiqué par le gouvernement libyen. Le soutien donné à ce dernier par des États européens avides de trouver des partenaires prêts à mettre en oeuvre leurs politiques d’externalisation n’est pas même évoqué. L’OIM est en effet un maillon important des dispositifs de dissuasion et d’entrave de l’émigration prônés par ses principaux financeurs. Y oeuvrer sans états d’âme lui a permis d’occuper une place de plus en plus grande dans un système onusien où d’autres agences et instances sont un peu plus regardantes en matière de droits humains.

Le 5 avril, le secrétaire général de l’OIM se déclarait particulièrement préoccupé par « la sécurité des migrants en détention en cas d’escalade des actions militaires ». La reprise des affrontements militaires dans la région de Tripoli rendait la fiction d’une Libye « pays sûr » de moins en moins tenable. Hors de question cependant de renoncer à « défendre » les frontières des pays du nord de la Méditerranée : c’est au Niger et au Nigéria qu’ont été déplacées ou reconduites quelques centaines de personnes placées sous la « protection » de l’OIM.

Le document est consultable ici.

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Quand la justice donne raison à l’ASE et sanctionne les militant.es…

Chantal Raffanel comparaissait ce lundi 6 mai devant le tribunal correctionnel d’Avignon. L’Aide sociale à l’enfance du Vaucluse la poursuit pour usurpation de fonction après avoir inscrit un mineur isolé étranger dans un lycée. Le procureur requiert 3 000 euros d’amende. En plus de ne pas remplir ses prérogatives, l’ASE attaque dorénavant les militant.es qui comblent ses propres défaillances, et la justice lui donne raison…  (Articles à lire dans la presse : ici et )

Et dans le même temps à Marseille, une personne solidaire a passé 24h en GAV pour s’être opposée à une escorte de policiers venue pour enlever la banderole du squat St-Just interpellant la présidente du Conseil Départemental sur ses responsabilités dans la mise à l’abri des mineurs étrangers isolés. La militante a été placée en contrôle judiciaire, avec une interdiction de se rendre au squat jusqu’à la date de son procès fixé au 30 octobre. (A lire ici le communiqué de soutien du Collectif St-Just)

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Sans toit et sans papiers

Nous publions un article du collectif paru dans le journal local “Épisode Cévenol” du mois d’avril 2019 (téléchargeable en version imprimable ici et ), et distribué chaque mardi matin lors du marché à Saint Jean du Gard.

Le mal-logement compte parmi l’un des nombreux fléaux de notre société. Près de 4 millions de personnes en France souffrent de problèmes y afférent : difficulté à payer son loyer, expulsion locative, insalubrité, habitat précaire… Au moins 143 000 personnes, selon les dernières estimations de l’Insee, sont sans-domicile-fixe. Parmi elles, un peu plus de la moitié sont de nationalité étrangère alors que les étrangers ne représentent qu’à peine plus de 11 % de la population. La question de la précarité des conditions de vie des personnes issues de l’immigration ne date pourtant pas d’hier ; on peut se souvenir des bidonvilles de la première moitié du XXème siècle s’amassant autour de la petite ceinture parisienne, où des cités-dortoirs érigées à l’après-guerre telles des ghettos dans les banlieues des principales agglomérations françaises.

Plus récemment, les réfugiés arrivés en provenance du moyen-orient et d’Afrique subsaharienne ont été confrontés à un déficit grave de logements. Il trouve pour origine la mauvaise volonté des pouvoirs publics à remédier à la question de l’intégration des populations étrangères et le non respect des conventions de protections des droits humains fondamentaux. En effet, des milliers de demandeurs d’asile ne sont pas hébergés durant le temps de leur procédure faute de place en centre d’accueil, des centaines de mineurs isolés se voient refuser leur droit élémentaire à une mise à l’abri. Hommes, femmes et enfants se retrouvent ainsi chaque jour jetés à la rue, contraints de subsister par leurs propres moyens, s’ils ne sont pas épaulés par l’aide de bénévoles solidaires.

D’autre part, le durcissement des législations en matière de droit au séjour plonge les personnes issues de l’immigration dans une précarité la plus totale. Se voir refuser une protection internationale équivaut à la perte des aides et de l’accès aux logements sociaux. Ces situations sont loin d’être des cas isolés car les trois quart des demandes sont rejetées et les périodes de régularisation qui s’en suivent sont longues et se comptent en années. Comment alors, en étant en situation administrative irrégulière, louer un appartement alors que l’on est expulsable à tout moment et dans l’impossibilité de présenter la moindre fiche de paye où une garantie de paiement à un bailleur, car privé du droit au travail légal ? Les marchands de sommeil et autres exploiteurs de misère humaine peuvent se frotter les mains…

Face à cette situation, de nombreux réseaux de solidarité s’organisent et tentent de faire face au problème collectivement. Réquisitions de logements inoccupés, hébergements chez l’habitant, collectes de fonds où mobilisations de soutien sont autant de moyens de trouver des solutions quelque peu stables et de marquer une opposition aux politiques de rejet et de précarisation des étrangers. Des liens humains basés sur une entraide concrète sont ainsi créés et laissent entrevoir des possibilités de rompre avec l’isolement et l’exclusion qu’engendre le système capitaliste marchand. Aussi, loin de dresser la misère des uns contre celle des autres, comme le laissent entendre les voix réactionnaires arguant que les nouveaux venus prendraient la place aux plus anciens, c’est bien l’ensemble des précaires réunis qui doivent se dresser face aux véritables responsables. Le territoire des Cévennes est réputé comme une terre d’accueil et de résistances, l’hébergement solidaire y est pratiqué dans de nombreux villages, à chacun de contribuer à cette lutte pour l’amélioration des conditions de vie de toutes et de tous.

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Rassemblement contre le délit de solidarité – Lundi 6 mai au Palais de Justice d’Avignon

On relaie l’appel à rassemblement de RESF 84 en soutien à Chantal, militante accusée par le CD 84 de faire à sa place son boulot…


LUNDI 6 MAI, CHANTAL RAFFANEL, MILITANTE DE LA CAUSE DES EXILÉ.E.S, SERA POURSUIVIE DEVANT LE TRIBUNAL CORRECTIONNEL D’AVIGNON, SUR PLAINTE DU CONSEIL DÉPARTEMENTAL DU VAUCLUSE POUR « USURPATION DE FONCTION ». ELLE RISQUE D’ÊTRE CONDAMNÉE SIMPLEMENT PARCE QU’ELLE A FAIT SON DEVOIR DE CITOYEN EN S’OCCUPANT DES DÉMARCHES POUR FAIRE SCOLARISER UN MINEUR NON ACCOMPAGNÉ, ACTE QUE L’AIDE SOCIALE À L’ENFANCE EST CENSÉE FAIRE. L’ASE DU VAUCLUSE NE SCOLARISE PAS LES MINEURS DONT LA MINORITÉ EST CONTESTÉE ET C’ÉTAIT LE CAS DE BEN. IL A ENSUITE ÉTÉ RECONNU MINEUR PAR LE JUGE DES ENFANTS ).

CHANTAL A JUSTE COMMIS L’ERREUR D’AVOIR MENTIONNÉ ÊTRE LA « RESPONSABLE LÉGALE » D’UN MINEUR SUR UNE DEMANDE D’INSCRIPTION SCOLAIRE, TOUT EN SE PRÉSENTANT COMME MILITANTE DE RESF; ERREUR QU’ELLE A RECONNUE LORS DE SON AUDITION ET QU’ELLE N’A JAMAIS RÉITÉRÉE ! SI L’ASE AVAIT EU LA DILIGENCE DE SCOLARISER BEN, CHANTAL N’AURAIT PAS EU À COMPLÉTER CE FORMULAIRE D’INSCRIPTION ; ET DONC PAS À COMMETTRE CETTE ERREUR.

CE PROCÈS REPRÉSENTE QUELQUE CHOSE DE FORT POUR LES MILITANTES ET MILITANTS ; ET PLUS PARTICULIÈREMENT CELLES ET CEUX DE RESF : NOUS N’ACCEPTERONS JAMAIS QU’UNE MILITANTE SOIT CONDAMNÉE SIMPLEMENT PARCE QU’ELLE A PRIS L’INITIATIVE CITOYENNE D’AIDER À DONNER UN TRAITEMENT DIGNE ET RESPONSABLE À UN MINEUR EN AIDANT À LE SCOLARISER, ALORS QUE LE SERVICE PUBLIC QUI DOIT REMPLIR CETTE FONCTION, NE LE FAIT PAS.

NOUS DEMANDONS DONC L’ABANDON DES CHARGES RETENUES CONTRE CHANTAL RAFFANEL ET LE RESPECT DE L’ENGAGEMENT CITOYEN ET SOLIDAIRE DE TOUS LES MILITANTS RESF QUI CONTINUERONT PARTOUT EN FRANCE À PRENDRE SOIN DE TOUS LES MINEURS : L’ÉDUCATION EST UN DROIT POUR TOUS LES MINEURS.

NOUS VOUS DONNONS RENDEZ-VOUS LE LUNDI 6 MAI 2019 À PARTIR DE 13 HEURES 30 DEVANT LE PALAIS DE JUSTICE D’AVIGNON (2 BOUL. LIMBERT), POUR SOUTENIR CHANTAL, CAR NOUS SOMMES TOUTES ET TOUS LES REPRÉSENTANTS LÉGAUX DE CHANTAL ET DE LA SOLIDARITÉ ENVERS LES EXILÉ.ES.

L’ÉQUIPE RESF84

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[Nîmes] Jeunes Mineurs à la rue.. Toujours

On transfère l’appel des soutiens Nîmois aux jeunes mineurs toujours non hébergés par le Conseil Départemental du Gard…


Les jours passent avec toujours chaque soir l’incertitude pour des jeunes mineurs de pouvoir coucher à l’abri. Malgré l’action organisée ce Week-end pour alerter les pouvoirs publics d’une situation qui perdure maintenant depuis trop longtemps, le Président du Conseil Départemental dont dépend l’ASE (Aide Sociale à l’Enfance) pourrait ne pas pouvoir dormir dans les jours qui viennent sur ses deux oreilles car faute de répondre réellement à la mise en protection des jeunes mineurs la nuit il se pourrait qu’une délégation se présente vers la Mairie de son domicile personnel le soir afin qu’il prenne en compte l’urgence de cette situation.
_RESF_    ”  Réseau d’Education sans Frontière ” continuera inlassablement son combat de _SOLIDARITÉ ,_ l’impossibilité de se faire entendre scandalise une partie de l’opinion publique que nous rencontrons, les messages qui nous arrivent vont aussi dans ce sens, ne pas vouloir entendre les citoyens quand on est élus par eux est un vrai problème pour la démocratie.

Monsieur le Président, quand il y a les grands froids vous trouvez des solutions d’urgences rapides pour loger les citoyens en difficultés à la rue, et pour quelques dizaines d’enfants vous voudriez nous faire croire qu’il vous faudrait organiser un plan Marshall alors que des citoyens tous les soirs à votre place organisent leur protection, mais cela ne peut perdurer, ce n’est pas notre rôle que de palier vos carences . N’oubliez surtout pas que la loi vous donne obligation de protéger tous ces mineurs ,et nous savons bien que la vie d’un enfant vaut quand même plus qu’une ligne de budget dans un dossier !!!

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Hommages aux morts des frontières à Calais

Près de 200 personnes se sont rassemblées ce vendredi 12 avril sur la plage de Calais à rendre hommage aux morts des frontières, victimes des politiques du non accueil européen. Voici la prise de parole de l’une d’entre elles présente ce jour là (reprise à partir du fb du Collectif Appel d’air ):

“Comme tout réfugié, mon histoire commence à la maison, le pays natal, un pays que j’ai été forcé de fuir. Le mien c’est l’Éthiopie. Chassé par la dictature, je me suis retrouvé en Égypte. Je voyageais avec des amis et avec eux, on a décidé de se réfugier en Europe en espérant trouver de la sécurité. Pour se faire, nous avons pris un bateau avec 600 autres personnes. Le bateau a coulé et emporta des centaines de vies. Nous ne sommes que 30 à avoir survécu et aujourd’hui je continue mon périple sans mes amis. Certains diront que c’est le risque que l’on prend pour la liberté, que c’est le prix à payer pour une vie meilleure….

Mon histoire est la mienne mais tout réfugiés ont payé. MAIS POURQUOI FAIRE ?!

Dès les premiers moments où nous arrivons en Europe, nous sommes obligés de nous cacher, de vivre à la rue ou dans la Jungle, de fuir face à la police et face à la violence des lois que le gouvernement nous impose. Dublin III n’est qu’une des nombreuses raisons pour laquelle je me trouve comme des milliers d’autres avant moi à Calais, pour encore une fois risquer ma vie pour en trouver une meilleure. Aujourd’hui est un jour pour se souvenir de nos frères et de nos sœurs qui ne sont plus parmi nous.

Aujourd’hui nous honorons, leur mémoire, leur histoire. Maintenant il faut que l’Europe se rende compte que nous sommes vivants en reconnaissant ceux qui sont morts.”

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[Alès] Cantine sans frontières – Samedi 27 avril : repas Albanais !!

Au menu de la cantine ce mois-ci :

REPAS ALBANAIS : Laker e Kuqe (salade chou rouge)
Tasqebap (boeuf en sauce)
Shendetli (gâteau traditionnel)

Samedi 27 avril à partir de 12h30 à la Rétive à Alès (42, rue du Fbg d’Auvergne)

Nous rappelons que l’argent récolté lors des Cantines sans frontières est destiné à être reversé à des personnes ne bénéficiant, pour la très grande majorité et du fait de leur situation administrative irrégulière, ni de la possibilité de travailler légalement, ni de celle de percevoir une quelconque aide sociale. Cela signifie dans le monde capitalisé que nous connaissons toutes et tous rencontrer de très grandes difficultés pour se loger, se nourrir où acheter n’importe quel bien de consommation de la vie courante. Les Cantines sans frontières sont un moyen de s’en sortir collectivement et sont organisées avec les personnes concernées. Elles sont aussi un moment de rencontre, d’échange et de convivialité.

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